2-0 en un quart d'heure de jeu, le match ne pouvait mieux commencer pour les Parisiens. Profitant de l'apathie metzain sur le premier but, Pastore, auteur d'un très bon pressing, s'arrache jusqu'au bout pour envoyer la balle au fond des filets. 1-0 en 9 minutes puis 2-0 donc quelques minutes plus tard. Suite à un coup-franc de Lavezzi, le pauvre Bussmann contre le ballon dans son propre but. (0-2, 16eme). Paris est maître de son sujet. Un sujet bien mieux maitrisé que depuis le début de saison. Si il possède le ballon , il le fait de manière à mettre du rythme et avec l'intention de mettre un troisième but. Rabiot jouant pour la première fois depuis le début de la saison en match officiel se montre à son avantage, Pastore, buteur se mue en chef d'orchestre et le fait plutôt brillamment. Metz, en difficulté, s'essaye de loin mais ne bouscule pas un Sirigu bien tranquille durant cette première période. Avec "beaucoup de précision", dixit Pastore, le PSG rentre au vestiaire sereinement.

Paris joue à se faire peur

Un début de rencontre Parisien, un début de seconde période Metzinne. Le pénalty accordé généreusement par M.Fautrel après une faute de Rabiot sur Krivets (47eme) et celui sur une main induscutable de Van Der Wiel (52eme) permettent à Maiga et au FC Metz de recoller à 2 partouts. Metz n'avait rien montré et hormis les 5-10 minutes de folie après le deuxième but, les hommes d'Albert Cartier ne se montrent dangereux que trop peu de fois. Paris de son côté ne panique pas, ne recule pas et reprend logiquement la maitrise de la sphère. Le PSG, à l'instar d'un Ibrahimovic en manque de forme, ne montre pas sa classique dextérité dans les 20 derniers mètres. Lavezzi trouve bien le portien Metzain à la 62eme en cadrant sa frappe mais est décisif sur la frappe de Zlatan qu'il pousse au fond du but 20 minutes plus tard. (2-3, 83eme). Paris aura les oppoprtunités de tuer le matchs mais ne les convertit pas, Metz n'est pas assez menaçant et n'inquiète pas Sirigu, le match se finit donc par 3-2. Metz n'est plus invaincu à domicile, Paris l'est toujours en 14 journées et est ajourd'hui leader du championnat. L'OM sera donc sous pression dimanche soir contre Bordeaux. La lutte pour le titre est reparti ! 

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Maxime Trouleau
Idéalement nous sommes ce que nous pensons. Dans la réalité, nous sommes ce que nous accomplissons. Ayrton Senna